Atelier « monstres à cabochons » à Treignac et Chamberet, les jeudi 24 et 31 juillet


Ateliers enfants et familles / jeudi, juillet 24th, 2025

Jeudi 24 au matin, à la médiathèque de Treignac, un atelier création de monstres aux pastels gras et à l’encre a eu lieu. Pour une fois, nous avons eu beaucoup de grands enfants, voire d’adolescents, et même deux adultes qui ont décidé de se joindre à nous pour ces créations ! Avec eux, quelques très jeunes enfants de 2 à 4 ans qui, bien qu’un peu jeunes pour le dessin, ont pu expérimenter ces diverses techniques.

J’avais imprimé des planches de parties de corps de monstres : pattes, ailes, oreilles, cornes…, parmi lesquelles j’ai proposé aux enfants (et adultes) de choisir, non pas dans l’objectif d’une reproduction exacte mais davantage pour enrichir les possibilités d’invention et la diversité des créations.

Après cela, nous sommes partis des yeux, dont la taille était déterminée par celle des cabochons, pour mettre en place d’abord un visage, puis un corps, et finalement ajouter les éléments choisis.

La couleur a été faite aux pastels gras et à l’encre, association pratique puisque le pastel gras repoussant l’eau, l’encre ne risque pas de faire disparaître le dessin. Les plus jeunes ont pu également s’amuser avec cette technique qui crée des effets toujours surprenants.

Au final, des réalisations colorées et très diverses !

Cet atelier a été suivi d’un second, le jeudi 31 juillet à la médiathèque de Chamberet. Toujours à l’aide de nos cabochons, nous avons cette fois créé en modelage, à la limite du bas-relief, des yeux de monstres, dragons et extraterrestres, peints ensuite à l’acrylique.

Pour cet atelier, davantage de jeunes enfants de 2 à 4 ans étaient présents, mais il y avait également des plus grands jusque 10-11 ans.

Alors qu’ils partaient pourtant d’un modèle unique, les créations des enfants se distinguent par leur singularité. Aucun n’a cherché à reproduire l’œil que j’avais moi-même réalisé en exemple ; au contraire, ils ont tous préféré faire appel à leur imaginaire propre, peut-être parce que l’œil du monstre représente, davantage qu’autre chose, un universel dont nous avons chacun une représentation personnelle.

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